Le pasteur Marcelo brise le silence face aux accusations de la belle-famille
| Société
Au cœur d’une tempête médiatique et familiale, le pasteur Marcelo Tunasi est enfin sorti de son silence. Très attendu sur les réseaux sociaux et dans les milieux religieux, l’homme de Dieu a livré, dans une déclaration poignante, sa version des faits sur les accusations qui pèsent contre lui, notamment autour du décès de son épouse Blanche et les tensions avec sa belle-famille.
Une famille endeuillée, un pasteur accusé
Dans ses propos, le fondateur de l’église « La Compassion » dénonce un véritable chantage déguisé en quête de justice, affirmant que la famille de son épouse décédée lui réclame la somme faramineuse de 800 000 dollars Américains.
« Ma belle-famille me réclame 800 000 USD. Je suis disposé à donner 250 000 dollars par respect pour Blanche et sa famille, mais je refuse de céder au chantage », a-t-il déclaré, visiblement ému.
Des accusations de meurtre qu’il rejette fermement
Depuis le décès de son épouse Blanche, des rumeurs persistantes l’accusent d’avoir été impliqué dans sa mort. Marcelo Tunasi a tenu à réfuter catégoriquement ces allégations : « On m’accuse d’avoir tué ma femme, alors qu’elle est décédée à la suite d’une opération. Comment pourrais-je tuer la mère de mes enfants » ?
Il poursuit en affirmant que la souffrance liée à cette perte est déjà suffisamment lourde, sans qu’on y ajoute des accusations infondées.
Sur sa relation avec Esther
Autre sujet brûlant : la nouvelle relation du pasteur avec une femme prénommée Esther, qui alimente les commentaires dans les cercles religieux et sur la toile. Marcelo tient à rétablir la chronologie : « J’ai rencontré Esther après le décès de Blanche, pas avant ».
Il balaie ainsi les insinuations sur une double vie ou une relation adultérine.
Un appel aux veufs et veuves
Dans un message plus général, le pasteur lance un appel aux familles endeuillées, qu’il juge souvent victimes d’injustices ou de tentatives d’extorsion : « Aux veuves et aux veufs, ne vous laissez pas dépouiller. Le deuil ne devrait pas devenir un business ».
Il conclut en soulignant l’ampleur de la pression qu’il subit, se présentant comme l’une des figures religieuses les plus attaquées de sa génération : « Je suis l’un des hommes de Dieu les plus persécutés aujourd’hui dans ma génération ».
Une affaire qui divise
Les déclarations du pasteur Marcelo ne manqueront pas de relancer le débat dans l’opinion publique. Si certains lui expriment un soutien indéfectible, d’autres continuent de demander une enquête plus approfondie sur les circonstances du décès de Blanche.
En attendant, le pasteur affirme vouloir continuer son ministère « avec foi, vérité et dignité ».
Diddy MASTAKI
